le bataillon en general introduction
2 participants
Page 1 sur 1
le bataillon en general introduction
sur le sujet DBFM en consultant les livres et autres articles .On y parle Beaucoup du 1 er et 2 eme
bataillon le 3 eme est en reste .
Personnellement j'étais Quartier maitre CS fusilier à la cote 200 dit signal 3 eme bataillon du 15/10/56 au 15/10/57 venant de Sirroco avec toute une bande de jeunes appelés pour remplacer les rappelés deja en place
Nous étions sous tentes "SAGA" avec quelques buttes de terre autour A partir de ce moment,je compte vous faire une narration des événements de mon sejour
Pour l'instant je recherche les anciens de cette époque qui doivent avoir pour les plus jeunes dans les 71 ans aujourd'hui .J'espere qu'ils passeront par l'ordinateur du fils ou du petit fils pour prendre contact car nous avons beaucoup de souvenirs a commenter
Connaissant parfaitement bien tout le secteur en Particulier de PORT SAY à ALAZETTA je suis en mesure de repondre à vos questions
Peut etre d'autres anciens des autres compagnies prendront l'initiative de raconter leurs histoires .
Je lance donc un appel à tous les anciens surtout aux appelés des 31 32 33 34 35 eme Cie de se faire connaitre et de m'envoyer les coordonnées des copains avec si possible les prenoms er la localisation approximative de la region ou le departement ou l'on risque de les retrouver
je souhaite par exemple trouver aussi les derniers occupants des postes à l'evacuation en 1962
.Dans l'attente voici les quelques histoires vecues lors de mon affection à la frontiere marocaine dans les pages qui vont suivre
Pour votre gouverne et votre prise de contact voici mes coordonnées :
Mr TESTE christian capitaine de corvette (H) fusilier "Kerhello" 56440 Languidic tel 02 97 65 28 07
mail christian.teste@wanadoo.fr
.
bataillon le 3 eme est en reste .
Personnellement j'étais Quartier maitre CS fusilier à la cote 200 dit signal 3 eme bataillon du 15/10/56 au 15/10/57 venant de Sirroco avec toute une bande de jeunes appelés pour remplacer les rappelés deja en place
Nous étions sous tentes "SAGA" avec quelques buttes de terre autour A partir de ce moment,je compte vous faire une narration des événements de mon sejour
Pour l'instant je recherche les anciens de cette époque qui doivent avoir pour les plus jeunes dans les 71 ans aujourd'hui .J'espere qu'ils passeront par l'ordinateur du fils ou du petit fils pour prendre contact car nous avons beaucoup de souvenirs a commenter
Connaissant parfaitement bien tout le secteur en Particulier de PORT SAY à ALAZETTA je suis en mesure de repondre à vos questions
Peut etre d'autres anciens des autres compagnies prendront l'initiative de raconter leurs histoires .
Je lance donc un appel à tous les anciens surtout aux appelés des 31 32 33 34 35 eme Cie de se faire connaitre et de m'envoyer les coordonnées des copains avec si possible les prenoms er la localisation approximative de la region ou le departement ou l'on risque de les retrouver
je souhaite par exemple trouver aussi les derniers occupants des postes à l'evacuation en 1962
.Dans l'attente voici les quelques histoires vecues lors de mon affection à la frontiere marocaine dans les pages qui vont suivre
Pour votre gouverne et votre prise de contact voici mes coordonnées :
Mr TESTE christian capitaine de corvette (H) fusilier "Kerhello" 56440 Languidic tel 02 97 65 28 07
mail christian.teste@wanadoo.fr
.
Dernière édition par Admin le Mer 3 Sep - 19:39, édité 1 fois
3/DBFM
Je crois que chaque soldat, chaque marin a vécu sa propre guerre d'Algérie et que dans les mêmes endroits, les mêmes lieux, les événements étaient différents selon les époques où nous y étions. Quand je suis arrivé à Bou Renam en février 61 c'était plutôt calme au tout début alors que ceux qui y étaient passé dans les années précédentes avaient connu de drôles de conditions.
Et puis le barrage fut construit et les tactiques changèrent. C'est vrai que dans les postes on ne courrait plus après le Fell . C'est vrai que je n'ai pas crapahuté autant que les Commandos, autant que ceux du BIFM. Nous nous trouvions en position d'attente. Au début dans mon coin celà pouvait aller et se limitait aux patrouilles, aux recherches d'indices de présence de l'ennemi. Nous n'étions pas des..... chasseurs et bien sur le 3/DBFM de ces moments là, dans mon coin 'à moi' n'avait pas l'aura des prédécesseurs qui avaient réussi à créer une Zone Interdite après de dures épreuves.
MAIS.........les choses ont changé; l'ennemi s'armait de plus en plus et de mieux en mieux et ce furent les harcèlements incessants, les attaques des postes ( pensons aux PERDRAUX par exemple, à GABRIEL, ALAZETTA, BEAUMONT, etc...les postes du nord que je ne connais pas), les tirs de bazooka sur les half-tracks et ambulance. Ce furent les pilonnages meurtriers à coups de mortiers. Ce furent aussi les embuscades montées de part et d'autres ( oui, on en a fait !). L'on parle moins peut-être du 3/DBFM et c'est justement le mérite de ce site et de son auteur que de vouloir rétablir les vérités, nos vérités, d'actions souvent inconnues et dramatiques.
Je n'oublie pas que sur les mers il y a des zones de mauvais temps, de tempêtes ou de calmes, selon les moments, les époques et les saisons mais nous sommes tous marins et nous comprenons les différences. Bons vents à tous. RGZH
Et puis le barrage fut construit et les tactiques changèrent. C'est vrai que dans les postes on ne courrait plus après le Fell . C'est vrai que je n'ai pas crapahuté autant que les Commandos, autant que ceux du BIFM. Nous nous trouvions en position d'attente. Au début dans mon coin celà pouvait aller et se limitait aux patrouilles, aux recherches d'indices de présence de l'ennemi. Nous n'étions pas des..... chasseurs et bien sur le 3/DBFM de ces moments là, dans mon coin 'à moi' n'avait pas l'aura des prédécesseurs qui avaient réussi à créer une Zone Interdite après de dures épreuves.
MAIS.........les choses ont changé; l'ennemi s'armait de plus en plus et de mieux en mieux et ce furent les harcèlements incessants, les attaques des postes ( pensons aux PERDRAUX par exemple, à GABRIEL, ALAZETTA, BEAUMONT, etc...les postes du nord que je ne connais pas), les tirs de bazooka sur les half-tracks et ambulance. Ce furent les pilonnages meurtriers à coups de mortiers. Ce furent aussi les embuscades montées de part et d'autres ( oui, on en a fait !). L'on parle moins peut-être du 3/DBFM et c'est justement le mérite de ce site et de son auteur que de vouloir rétablir les vérités, nos vérités, d'actions souvent inconnues et dramatiques.
Je n'oublie pas que sur les mers il y a des zones de mauvais temps, de tempêtes ou de calmes, selon les moments, les époques et les saisons mais nous sommes tous marins et nous comprenons les différences. Bons vents à tous. RGZH
Gouzerh Roger- Messages : 170
Date d'inscription : 02/06/2008
Age : 86
Localisation : 22
Sujets similaires
» Le 2ème bataillon
» Dernier à abandonner Bab-el-Assa
» Photos de Pierre CLARAC de ROUZAUD
» le silence des vétérans
» Pourquoi « La Plage du Sel » ?
» Dernier à abandonner Bab-el-Assa
» Photos de Pierre CLARAC de ROUZAUD
» le silence des vétérans
» Pourquoi « La Plage du Sel » ?
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum